La page silencieuse qui suit l'évènement central du "Attends" de Jason, ainsi que le moment où le personage principal devient adulte.
Le gosse chassé de la voiture dans le salon de l'auto, pour permettre à un grand de s'y asseoir et faire vroum vroum à sa place, dans "Les Bidochons usagers de la route".
L'instant terrible où l'homme invisible réalise que Mr Hyde le voit, dans "The league of extraordinary gentlemen".
La partie de chess-boxing dans "Froid équateur", pour la trés palpable douleur et le délabrement d'un Nikopol poussé trop loin par Horus.
PAR HORUS DEMEURE. Pour rien, juste parce que cette formule est complètement débile, trop débile pour être inventée, donc sonne complètement vraie, marque vraiment les imaginations, et devient du coup complètement obsédante (et un peu inquiétante). C'est dans "Le mystère de la grande pyramide" (entre autres), chez Blake et Mortimer.
Les moments où Benoît Brisefer explique.
Vos passages préférés dans la BD?
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- Parker
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Un des albums qui m'a fait le plus marrer est "l'enfer de xique-xique" de Tillieux. Libellule est vraiment une trouvaille ...
- la scene du procès où il fait une surenchère sur sa peine (1 page de délire)
- la scene également où avant de partir de la mine, il prépare un piège (des pelles aux sols) pour le gardien qui bien sûr tombe dans le panneau, bouffe sa gourde, et se retrouve chez un toubib ivrogne qui n'en a rien à faire (1 autre page de délire)
- et plein de petites bulles aux dialogues marrants (surtout dans la bouche de Libellule)
Les rivaux de Painful Gulch (Lucky Luke) est également un sommet d'humour.
- la scene du procès où il fait une surenchère sur sa peine (1 page de délire)
- la scene également où avant de partir de la mine, il prépare un piège (des pelles aux sols) pour le gardien qui bien sûr tombe dans le panneau, bouffe sa gourde, et se retrouve chez un toubib ivrogne qui n'en a rien à faire (1 autre page de délire)
- et plein de petites bulles aux dialogues marrants (surtout dans la bouche de Libellule)
Les rivaux de Painful Gulch (Lucky Luke) est également un sommet d'humour.
Bizmut Klodomir ! ... ( Hubuc "la vie est un songe")
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- Le gaffeur
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La scéne de commisariat dans "Panade à Champignac".
Comissaire : "Première costatation: l'interpellé, comme toute cette histoire, d'ailleurs, ne tient pas debout."
"... c'est bientot fini, la comédie, oui ?...Vous allez le dire, votre nom ?..."
Zorglube (sur les genoux d'un flic) :"ARRHEUH"
Comissaire :"Vous notez, Lapelure ?"
Lapelure : "Arreu? Combien d'r ?..."
Comissaire :"Prénom ?"
Zorglube :"FLEBELEB"
Comissaire: (Hmmh, Un étranger...). "Ah! On devient raisonable... PROFESSION ?"
Zorglube :"GADAA GADAA PROTSCH
Et là, la tête du comissaire me fait toujour marrer.
Un grand moment
Comissaire : "Première costatation: l'interpellé, comme toute cette histoire, d'ailleurs, ne tient pas debout."
"... c'est bientot fini, la comédie, oui ?...Vous allez le dire, votre nom ?..."
Zorglube (sur les genoux d'un flic) :"ARRHEUH"
Comissaire :"Vous notez, Lapelure ?"
Lapelure : "Arreu? Combien d'r ?..."
Comissaire :"Prénom ?"
Zorglube :"FLEBELEB"
Comissaire: (Hmmh, Un étranger...). "Ah! On devient raisonable... PROFESSION ?"
Zorglube :"GADAA GADAA PROTSCH
Et là, la tête du comissaire me fait toujour marrer.
Un grand moment
Modifié en dernier par Le gaffeur le dim. 2 janv. 2011 21:39, modifié 1 fois.
- savjlien2
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- citation : spirouvore
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moi j'ai adoré :
la scène ou libellule se prend pour un grec, surtout quand une femme l'appelle et qu'il "ou avez vous attraper ce rhum ?" dans Popaine et vieux tableau
quand Fantasio a du mal a sortir de la machine qui doit l'habiller en zorglhomme à cause de son pied
la scène ou libellule se prend pour un grec, surtout quand une femme l'appelle et qu'il "ou avez vous attraper ce rhum ?" dans Popaine et vieux tableau
quand Fantasio a du mal a sortir de la machine qui doit l'habiller en zorglhomme à cause de son pied
" -Attendez... Vous les nourrissez ? Mais qu'est-ce que vous leur donnez à bouffer ?
-Eh bien étranger... On leur donne des étrangers. "
-Eh bien étranger... On leur donne des étrangers. "