
LA MEMOIRE DU FUTUR
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Re: LA MEMOIRE DU FUTUR
On peut dire que ta condition est présente 

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Re: LA MEMOIRE DU FUTUR

Differents sites,dont celui de Dupuis,annonce 64 planches pour l'album qui sort mi octobre.
La pré publication dans le journal en compte 56...

"Quand je lis des Bd,je m'intéresse beaucoup plus au dessin qu'au scénario. C'est surtout par paresse.
Pour moi la BD passe d'abord par le dessin".
Extrait interview André Franquin pour le fanzine "Esquisse" en 1990.
Pour moi la BD passe d'abord par le dessin".
Extrait interview André Franquin pour le fanzine "Esquisse" en 1990.

- Rose Blackwood
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- citation : Il y a des écureuils délaissés qui essaient de dormir ici!
Re: LA MEMOIRE DU FUTUR
C'est cette suite qui m'a conduite à reconsidérer le diptyque en général, comme je l'ai dit, avec plus d'indulgence. Oui, l'annonce de décès précédente est une fausse nouvelle, mais en dehors du fait qu'il y avait de quoi s'y attendre, le problème est que cette suite soit venue beaucoup plus tard. Aujourd'hui, on peut les lire directement l'un après l'autre, mais il y a quand même eu deux ans entre les deux publications, à laisser traîner un doute. A la fin de La frousse aux trousses, ça ressemble plutôt à une disparition très brusque. Donc il y a lieu de penser que, oui sans doute, ils en ont réchappé. Ici, dans l’album précédent, on était frappés par l’oraison funèbre, ou plutôt par son absence.
Je ne sais pas néanmoins si j'ai été très sensible à l'autre énorme cliché par lequel commence cet album, et qui est tout aussi détesté, avec une bonne raison. Même si finalement il s'avère qu’encore une fois, c’est du bluff. C'est-à-dire tout ( ou quasiment) que vous avez cru réel pour un personnage ces dernières années, ou plus, n'ont jamais existé, parce que ça n'était qu'un rêve. Alice au pays des merveilles ou Le Magicien d'Oz (le film) sont des exemples assez anciens, mais en règle générale, on tend à oublier que les aventures des deux demoiselles, Alice et Dorothy, sont censées être fictives. Après, vous me direz, elles aussi sont fictives, mais là n'est pas la question.
En règle générale quand il y a des récits dérivés, ou des suites, sur ce sujet, le pays des merveilles, et Oz, existent bel et bien, et pour cause. Ce serait très décevant dans le cas contraire. En fait, on a lu ou vu tout ça, et puis non, rien. C'était juste un rêve.
Parfois on n’a pas le choix, comme avec Dallas. Dans cette série, toute la cinquième saison se révélait n’ être qu'un rêve du personnage de Pamela, et qui réalisait entre autres, en se réveillant au début de la saison 6, que son mari Bobby était toujours vivant. La quatrième saison s’était terminée avec sa mort, le comédien souhaitant jouer d'autres choses. Sauf qu'il n'avait pas eu de succès, avait dû revenir à Dallas, donc les scénaristes n’avaient trouvé que cette explication. Mais à l'époque, les gens n'ont pas eu tant de mal que ça à oublier la cinquième saison.
Ce fut autre chose avec un premier exemple de véritable scandale induit par la disparition de toute l'histoire, sans raison valable. Il concerne le soap opéra des années 1980 Hôpital St Elsewhere, dont le dernier plan montre un jeune garçon autiste regardant l'hôpital en question dans une boule à neige, à laquelle il a toujours appartenu. En d'autres termes, il a imaginé toute la série.
Il faut bien que quelqu'un imagine ce truc là à la base, de toute façon. Mais dire “Tout ça n'était que le rêve d'un enfant autiste”, voilà qui a bien pourri le groove, pour beaucoup trop de téléspectateurs, attachés aux personnages. C’ est très mal passé.
Aujourd'hui ce trope est présenté comme l'une des pires choses qu'on puisse faire dans une série. Par exemple dans l'épisode des Simpson “Lisa la boyscout”, le titre n'a rien à voir, et c'est voulu. Deux Anonymous piratent la diffusion de l’épisode en cours, et passent à l'antenne, en échange de rançon, des extraits qui auraient été coupés au montage des Simpson. Et qui sont tellement pourris qu'ils auraient pu gâcher la série à jamais, selon eux. Bien sûr, tous ces exemples, ou quasiment, ont été inventés pour l'occasion, et c'est une version parodique. On remarquera que parmi eux, il y avait Homer se réveillant à l'hôpital, à la fin du huitième épisode de la saison deux, après avoir tenté de sauter un ravin en skateboard. Autour de lui, sa famille lui révèle qu'il était comateux, et que rien ne s'était passé, en fait, depuis cet épisode. Homer proteste: il est certain d'avoir vécu un tas de choses, et il cite, preuves à l’appui, des épisodes s’ étant passés ces trente dernières années. Sa famille assure que ça n'a pas eu lieu, et qu'il a tout rêvé, pendant son coma. Sans aucun doute, si ça avait été vrai, ça aurait effectivement ruiné toute la série.
Dans Spirou lui-même, dans un certain sens, ils nous ont déjà fait le coup, et en bien pire. Puisque en remontant dans le temps, ça annulait effectivement tout: Aux sources du Z, bien sûr, toujours et encore. A l'origine, souvenez vous, il s'agissait de recréer un présent dans lequel aucun des albums édités depuis Quatre histoires n'auraient existé. Yoann et Velhman jettent ça par la fenêtre dès l'épisode suivant, on comprend pourquoi. Si on nous refait le coup ? Mais là, je me doutais qu'il y avait une raison. Mais, imaginez une demi seconde que ça aurait été vrai.
Non, mais en fait il s'est rien passé depuis Les hommes bulles? Et en plus Korallion n'existe même pas? Génial! Et c'était à peine moins pire que Aux sources du Z. La raison, je pense la comprendre: il s'agit de replonger Spirou en 1958, comme s'il ne l'avait jamais quitté. Une réponse, sans doute, aux personnes qui auraient aimé ne jamais voir la série évoluer ( suivez mon regard vers Tintin). Beaucoup pensent que Spirou connaissait son âge d'or sous Franquin, et que depuis, et bien forcément, ce n'est pas pareil. C'est vrai, en un sens. Mais faut-il forcément ignorer tout ce qui s'est fait depuis? Vous avez deux heures…
De toute façon, les auteurs ne répondront pas à ce constat philosophique.
J'avoue, je n'ai pas très bien compris comment l’ellipse temporelle s'est effectuée. Six mois sont censés s’être écoulés. Or, en vérité, il n'a pu se passer que quelques heures, parce que la mousse avait déjà commencé à ronger le plastique des installations au moment où Spirou s'est retrouvé dans sa bulle. Il n'a pas pu y passer des mois, donc la notion du temps doit être complètement différente dans l'univers virtuel. Spirou se retrouve à temporairement endosser le rôle de la Peggy Sue. Pour ceux qui ne savent pas, le trope s'inspire du film Peggy Sue s’est mariée (1986) dans lequel l'héroïne éponyme s'évanouit alors qu'elle a une quarantaine d'années en 1985, et se réveille inexplicablement dans son corps d'adolescente en 1960, mais en se souvenant de tout ce qui s'est passé depuis. Cela lui permet, entre autres choses, d'éviter de reproduire les mêmes erreurs, ou d'anticiper certaines inventions futures. Car en général, la Peggy Sue profite de la situation. C'est arrivé dans d'autres œuvres. Depuis, je dirais même que c'est un grand classique des manwhas et mangas romantiques, qui débutent avec la mort de l'héroïne. Ce sont souvent des filles, qui se réveillent dans leurs propres corps, quelques années plus tôt, avec pour mission d'éviter cette fois-ci son décès. C'est facile, effectivement quand on sait à qui se fier, ou non. Ce qu'il aurait fallu faire, ou ne pas faire, etc. Mais ici, Spirou ne tire guère avantage de la situation. Il sait seulement comment la société va évoluer, tant au niveau des mœurs (oui, beaucoup de racisme et de zoo humain…) ce que sera Internet, ou le téléphone portable. Le problème, c'est qu'il passe pour un dingue.
D'ailleurs que Cyanure simule les automates ressemblant aux futur adversaires dans le train fantôme, comme une manière de toujours faire douter Spirou de ce qu'ils sont vraiment? Sachant que notre univers lui-même est censé être une simulation selon certaines théories scientifiques…
L'album a, c’est bien, mis en avant Seccotine de manière utile. On s'aperçoit plus de sa présence, cette fois-ci. Comme je l'ai dit, je n'ai pas vu venir la présence de Cyanure. De ce point de vue là, c'est malin, même si du coup, de son côté, on ne se serait pas attendu à ce que sa résurrection se produise à travers sa carte mémoire, revendue à Zorglub. Pas ce que j’attendais. On aurait vraiment dit, à la fin de Qui arrêtera Cyanure, que cette dernière avait incarné son esprit à la dernière seconde dans Télésphore, et qu'elle était dans ce dernier depuis. Mais cette piste a finalement été abandonnée.
L'univers virtuel, on sent que cette thématique a été choisie, car c’est une façon d'expliquer pourquoi on retrouve dans un même lieu tous les personnages de l'éditeur, censés être fictifs, pour la plupart. Le centenaire de l'éditeur, donc, normal. Et puis aussi, ils font: “ Regardez, on a ré acquis, on peut donc réutiliser, les personnages de Gaston Lagaffe, mais aussi le Marsupilami. “ Très mis en avant, mais en même temps, on sent qu'ils ne peuvent pas récupérer totalement celui-ci, et le mettre dans Spirou. Ce qu'on savait depuis La colère du Marsupilami, donc tout ça pour ça?
Et Cyanure qui devient géante! Faut avouer que ça a de la gueule.
On pense aux kaijus dans les films et dessins animés japonais, et ça prouve qu'il ne faut pas se fier à son air glamour. Elle souligne elle- même, d'ailleurs, qu'elle trouve son apparence vulgaire, et sans doute sexiste. Mais en un sens, cela permet d'endormir la méfiance d'autrui, alors pourquoi ne pas ressembler à Marilyn Monroe? Par contre, Seigneur, que c'est gore!
Je sais bien que personne ne bat Morvan et Munuera sur ce point, mais j'ai quand même trouvé la fin plus gore que d'habitude, et que dans les autres runs. A savoir quand Cyanure piétine les avatars de la plupart des personnages, sauf Spirou, à l'inverse de la situation de l'album précédent. On a beau savoir que c'est des avatars, je commence à croire que les auteurs avaient des envies de meurtre inavouées... Et pour finir, ben rien, c'est un peu expédié. Le " Nous, on meurt pas pour si peu!" En même temps, le contraire était étonnant.
Cyanure s'est de nouveau échappée dans un simili Amazon? Très drôle... Et Zorglub, vu sa tête, je ne crois pas qu'il va finir noyé, mais tout de même: il est dans une position à finir comme ça, avouez...
Je ne sais pas néanmoins si j'ai été très sensible à l'autre énorme cliché par lequel commence cet album, et qui est tout aussi détesté, avec une bonne raison. Même si finalement il s'avère qu’encore une fois, c’est du bluff. C'est-à-dire tout ( ou quasiment) que vous avez cru réel pour un personnage ces dernières années, ou plus, n'ont jamais existé, parce que ça n'était qu'un rêve. Alice au pays des merveilles ou Le Magicien d'Oz (le film) sont des exemples assez anciens, mais en règle générale, on tend à oublier que les aventures des deux demoiselles, Alice et Dorothy, sont censées être fictives. Après, vous me direz, elles aussi sont fictives, mais là n'est pas la question.


Parfois on n’a pas le choix, comme avec Dallas. Dans cette série, toute la cinquième saison se révélait n’ être qu'un rêve du personnage de Pamela, et qui réalisait entre autres, en se réveillant au début de la saison 6, que son mari Bobby était toujours vivant. La quatrième saison s’était terminée avec sa mort, le comédien souhaitant jouer d'autres choses. Sauf qu'il n'avait pas eu de succès, avait dû revenir à Dallas, donc les scénaristes n’avaient trouvé que cette explication. Mais à l'époque, les gens n'ont pas eu tant de mal que ça à oublier la cinquième saison.
Ce fut autre chose avec un premier exemple de véritable scandale induit par la disparition de toute l'histoire, sans raison valable. Il concerne le soap opéra des années 1980 Hôpital St Elsewhere, dont le dernier plan montre un jeune garçon autiste regardant l'hôpital en question dans une boule à neige, à laquelle il a toujours appartenu. En d'autres termes, il a imaginé toute la série.
Il faut bien que quelqu'un imagine ce truc là à la base, de toute façon. Mais dire “Tout ça n'était que le rêve d'un enfant autiste”, voilà qui a bien pourri le groove, pour beaucoup trop de téléspectateurs, attachés aux personnages. C’ est très mal passé.

Dans Spirou lui-même, dans un certain sens, ils nous ont déjà fait le coup, et en bien pire. Puisque en remontant dans le temps, ça annulait effectivement tout: Aux sources du Z, bien sûr, toujours et encore. A l'origine, souvenez vous, il s'agissait de recréer un présent dans lequel aucun des albums édités depuis Quatre histoires n'auraient existé. Yoann et Velhman jettent ça par la fenêtre dès l'épisode suivant, on comprend pourquoi. Si on nous refait le coup ? Mais là, je me doutais qu'il y avait une raison. Mais, imaginez une demi seconde que ça aurait été vrai.
Non, mais en fait il s'est rien passé depuis Les hommes bulles? Et en plus Korallion n'existe même pas? Génial! Et c'était à peine moins pire que Aux sources du Z. La raison, je pense la comprendre: il s'agit de replonger Spirou en 1958, comme s'il ne l'avait jamais quitté. Une réponse, sans doute, aux personnes qui auraient aimé ne jamais voir la série évoluer ( suivez mon regard vers Tintin). Beaucoup pensent que Spirou connaissait son âge d'or sous Franquin, et que depuis, et bien forcément, ce n'est pas pareil. C'est vrai, en un sens. Mais faut-il forcément ignorer tout ce qui s'est fait depuis? Vous avez deux heures…
De toute façon, les auteurs ne répondront pas à ce constat philosophique.
J'avoue, je n'ai pas très bien compris comment l’ellipse temporelle s'est effectuée. Six mois sont censés s’être écoulés. Or, en vérité, il n'a pu se passer que quelques heures, parce que la mousse avait déjà commencé à ronger le plastique des installations au moment où Spirou s'est retrouvé dans sa bulle. Il n'a pas pu y passer des mois, donc la notion du temps doit être complètement différente dans l'univers virtuel. Spirou se retrouve à temporairement endosser le rôle de la Peggy Sue. Pour ceux qui ne savent pas, le trope s'inspire du film Peggy Sue s’est mariée (1986) dans lequel l'héroïne éponyme s'évanouit alors qu'elle a une quarantaine d'années en 1985, et se réveille inexplicablement dans son corps d'adolescente en 1960, mais en se souvenant de tout ce qui s'est passé depuis. Cela lui permet, entre autres choses, d'éviter de reproduire les mêmes erreurs, ou d'anticiper certaines inventions futures. Car en général, la Peggy Sue profite de la situation. C'est arrivé dans d'autres œuvres. Depuis, je dirais même que c'est un grand classique des manwhas et mangas romantiques, qui débutent avec la mort de l'héroïne. Ce sont souvent des filles, qui se réveillent dans leurs propres corps, quelques années plus tôt, avec pour mission d'éviter cette fois-ci son décès. C'est facile, effectivement quand on sait à qui se fier, ou non. Ce qu'il aurait fallu faire, ou ne pas faire, etc. Mais ici, Spirou ne tire guère avantage de la situation. Il sait seulement comment la société va évoluer, tant au niveau des mœurs (oui, beaucoup de racisme et de zoo humain…) ce que sera Internet, ou le téléphone portable. Le problème, c'est qu'il passe pour un dingue.
D'ailleurs que Cyanure simule les automates ressemblant aux futur adversaires dans le train fantôme, comme une manière de toujours faire douter Spirou de ce qu'ils sont vraiment? Sachant que notre univers lui-même est censé être une simulation selon certaines théories scientifiques…
L'album a, c’est bien, mis en avant Seccotine de manière utile. On s'aperçoit plus de sa présence, cette fois-ci. Comme je l'ai dit, je n'ai pas vu venir la présence de Cyanure. De ce point de vue là, c'est malin, même si du coup, de son côté, on ne se serait pas attendu à ce que sa résurrection se produise à travers sa carte mémoire, revendue à Zorglub. Pas ce que j’attendais. On aurait vraiment dit, à la fin de Qui arrêtera Cyanure, que cette dernière avait incarné son esprit à la dernière seconde dans Télésphore, et qu'elle était dans ce dernier depuis. Mais cette piste a finalement été abandonnée.

L'univers virtuel, on sent que cette thématique a été choisie, car c’est une façon d'expliquer pourquoi on retrouve dans un même lieu tous les personnages de l'éditeur, censés être fictifs, pour la plupart. Le centenaire de l'éditeur, donc, normal. Et puis aussi, ils font: “ Regardez, on a ré acquis, on peut donc réutiliser, les personnages de Gaston Lagaffe, mais aussi le Marsupilami. “ Très mis en avant, mais en même temps, on sent qu'ils ne peuvent pas récupérer totalement celui-ci, et le mettre dans Spirou. Ce qu'on savait depuis La colère du Marsupilami, donc tout ça pour ça?
Et Cyanure qui devient géante! Faut avouer que ça a de la gueule.




“Ach! Fous êtes nerfeux!”
- Gaston Lagaffe
- Maître Spiroutiste
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- Enregistré le : sam. 8 oct. 2005 14:02
- citation : Fan de Fournier
- Localisation : Gatineau (Québec)
Re: LA MEMOIRE DU FUTUR
Après avoir lu l'album, je ne sais pas si j'ai envie de mettre 2 ou 3 étoiles. Je mets finalement 3 en disant que c'est un 2.5/5 parce que j'ai mieux aimé cet album que le précédant et d'autres albums dont j'ai aussi mis 2 étoiles.
Le principal problème est qu'au final le truc de Spirou est mort est juste un truc marketing. On le savait déjà, mais là on balance carrément dans les premières pages que Spirou est vivant. Au moins quand Ric Hochet était censé mourir à la fin d'un album, ce n'était qu'à la fin du suivant qu'on savait qu'il était vivant et les auteurs ont avait profité pour mettre en avant sa fiancé Nadine qui menait l'enquête pour une fois. Je pensais que cela aurait été la même chose ici avec un album qui mettrait en avant-plan Seccotine et Fantasio tout seul. Certes ils sont importants dans cet album, mais c'est pas la même chose lorsque Spirou est présent dès le début.
Il y aussi des scènes un peu inutile (la fête dure trop longtemps à mon gout),mais moins que dans le précédent album. Je pense qu'on aurait très bien pu faire de ses deux albums un simple album de 56-60 pages comme dans le bon vieux temps. J'ai bien aimé revoir Cyanure même si on contredit la fin de Qui Arrêtera Cyanure et c'est une bonne utilisation du personnage même si encore une fois je trouve qu'on se débarrasse d'elle un peu vite. En fait, ce que je n'aime pas trop est que j'ai l'impression qu'on passe trop de temps sur des éléments que j'aime moins (pas besoin de faire des pages et des pages sur le fait que Fantasio essai de récupérer Spirou, on avait compris la première fois) et pas assez sur d'autres éléments qui me semble plus important comme Cyanure.
J'ai rien contre le dessin de Schwartz, mais je trouve que ça manquait de dynamisme durant les scènes d'actions. Et le fait que parmi les gens qu'il a remercié il y a Yann est rigolo vu ce qui s'est passé cette année.
Au final, un album qui se laisse lire et je ne sais pas trop si j'ai envie de continuer d'acheter la série mère de Spirou ou tout simplement attendre de lire les nouveautés à la bibliothèque avant de décider si je veux acheter ou non.
La fin donne envie, mais il y a déjà eu trois tentatives de refaire Zorglub méchant qui n'ont pas abouti alors mes attentes sont pas très élevés pour voir si cette fois-ci cela va aboutir.
Le principal problème est qu'au final le truc de Spirou est mort est juste un truc marketing. On le savait déjà, mais là on balance carrément dans les premières pages que Spirou est vivant. Au moins quand Ric Hochet était censé mourir à la fin d'un album, ce n'était qu'à la fin du suivant qu'on savait qu'il était vivant et les auteurs ont avait profité pour mettre en avant sa fiancé Nadine qui menait l'enquête pour une fois. Je pensais que cela aurait été la même chose ici avec un album qui mettrait en avant-plan Seccotine et Fantasio tout seul. Certes ils sont importants dans cet album, mais c'est pas la même chose lorsque Spirou est présent dès le début.
Il y aussi des scènes un peu inutile (la fête dure trop longtemps à mon gout),mais moins que dans le précédent album. Je pense qu'on aurait très bien pu faire de ses deux albums un simple album de 56-60 pages comme dans le bon vieux temps. J'ai bien aimé revoir Cyanure même si on contredit la fin de Qui Arrêtera Cyanure et c'est une bonne utilisation du personnage même si encore une fois je trouve qu'on se débarrasse d'elle un peu vite. En fait, ce que je n'aime pas trop est que j'ai l'impression qu'on passe trop de temps sur des éléments que j'aime moins (pas besoin de faire des pages et des pages sur le fait que Fantasio essai de récupérer Spirou, on avait compris la première fois) et pas assez sur d'autres éléments qui me semble plus important comme Cyanure.
J'ai rien contre le dessin de Schwartz, mais je trouve que ça manquait de dynamisme durant les scènes d'actions. Et le fait que parmi les gens qu'il a remercié il y a Yann est rigolo vu ce qui s'est passé cette année.
Au final, un album qui se laisse lire et je ne sais pas trop si j'ai envie de continuer d'acheter la série mère de Spirou ou tout simplement attendre de lire les nouveautés à la bibliothèque avant de décider si je veux acheter ou non.
La fin donne envie, mais il y a déjà eu trois tentatives de refaire Zorglub méchant qui n'ont pas abouti alors mes attentes sont pas très élevés pour voir si cette fois-ci cela va aboutir.

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