
LE TOMBEAU DES CHAMPIGNAC
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- marcelinswitch
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- Frère en Chalanderie
Triple interview sonore de Yann, à propos du Tombeau, de son one-shot avec Olivier Schwartz et du n° 50...
à écouter d'urgence ici:
http://expressbd.com/crbst_108.html
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http://expressbd.com/crbst_108.html
- Juho
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Pas de news à propos du TL de chez Album?
Il était prévu pour novembre et il ne me semble pas l'avoir vu passer? Rien sur leur site non plus d'ailleurs?
Il était prévu pour novembre et il ne me semble pas l'avoir vu passer? Rien sur leur site non plus d'ailleurs?

[color=#3366FF][b]"Dieu ne vous a rien donné du tout, vous usez de son nom pour justifier votre irresponsabilité. Pour ne pas me mettre en colère, je dirais que c'est vilain"[/b][i] Lapinot[/i][/color]
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- Frère en Chalanderie
MAIS QUE FONT SPIROU et SECCO DANS LA GROTTE?
Réponse de Fab' sur son blog:

Réponse de Fab' sur son blog:
^^Je te fais la scène:
Donc, Seccotine:
-Mais Spirou ?! Qu'est-ce que vous faites ?
Spirou est à ses genoux, grelotant:
-Rien, mais votre lacet est défait...
Seccotine (dominatrice): Non, mais quel nigaud ! Redresse-toi petit homme !
Elle s'agenouille à son tour:
-Ben ?! Je ne vous fais donc aucun effet ?
Spirou:
-C'est... C'est l'émotion...
Du coup Seccotine l'embrasse langoureusement mais Spirou ne sort même pas la langue !
Je te raconterai la suite en privé, ici ça me gêne...

- Juho
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Au dernières nouvelles, il paraitrait que ca se ferait en janvier... 
Une version couleur par contre.Je serait bien tenté aussi... On verra si je peux à ce moment la

Une version couleur par contre.Je serait bien tenté aussi... On verra si je peux à ce moment la

[color=#3366FF][b]"Dieu ne vous a rien donné du tout, vous usez de son nom pour justifier votre irresponsabilité. Pour ne pas me mettre en colère, je dirais que c'est vilain"[/b][i] Lapinot[/i][/color]
- Juho
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Ca serait amusant de faire (dans un TL) un rajout d'une à deux planches à ce moment la
Mais ca perdrait un peu de son interet qui est justement génial, c'est que chacun imagine ce qu'il veut !
^^


[color=#3366FF][b]"Dieu ne vous a rien donné du tout, vous usez de son nom pour justifier votre irresponsabilité. Pour ne pas me mettre en colère, je dirais que c'est vilain"[/b][i] Lapinot[/i][/color]
- DESPERA
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Du nouveau chez Bruno Graff :
http://pointimagejvdh.free.fr/brunograff/index.shtml
110 et seulement 400 exemplaires. Malheureusement pour moi, d'ici que j'ai la somme il n'y en aura probablement plus...
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110 et seulement 400 exemplaires. Malheureusement pour moi, d'ici que j'ai la somme il n'y en aura probablement plus...
- marcelinswitch
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Voici ma critique, à contre-temps, déjà postée sur le forum Franquin:
Je tiens d'abord à dire que pour moi le tombeau des Champignac est un bon album. Le meilleur des 3 one-shots sortis, le plus équilibré dans la qualité du dessin et du scénario.
C'est vrai que je suis sorti de ma lecture avec un sentiment mitigé.
En fait, je ne m'attendais pas à un tel album.
On connaît tous la démarche des deux auteurs, et pour nous, il y a de quoi saliver, surtout que cela fait deux ans et demi qu'on attend.
Faire un Spirou dans l'esprit de Franquin, c'est courageux car on s'expose inévitablement à la comparaison mais ici les auteurs échappent à ce piège grâce à leur talent respectif, et à leur propre ton.
On sent bien qu'ils on aimé faire cette histoire.
Je disais que j'étais partagé à la fin de ma lecture. En effet je m'attendais à une grande aventure, comme au bon vieux temps de Franquin, comme "QRM", que les auteurs citent allègrement.
Certes, ils avaient prévenu que "la psychologie des personnages" seraient un peu plus creusé, leur relation les uns aux autres, notamment le fameux trio Spirou-Fantasio-Seccotine.
Mais je ne pensais pas que ce serait le point central de l'album et que l'action passerait au second plan (c'est mon avis).
Du coup, j'ai été un peu déçu par rapport à ce que j'attendais, et j'ai dû changer mon fusil d'épaule pour apprécier cet album.
Il n'est pas facile de dénouer du scénario qui a fait quoi, mais au final, les 2 auteurs étant sur la même longueur d'onde, cela ne change pas grand chose.
Comme le disait Yann en interview, ils se sont amusés à retourner le coffre à jouets pour prendre ce qui leur plaisait: Turbot 1, Zorglumobile (même si les deux n'ont jamais coexisté), costume de groom (oubli marquant et pourtant symbolique: le calot).
Le synopsis de Yann captive le lecteur: une mission impossible; escalader une montagne lointaine du Tibet, le château détruit, une crypte découverte, un ancêtre mystérieux du comte...
Cela ne se révellera finalement pas une grande aventure, comme je l'ai dit mais plutôt une trame dans laquelle on va suivre les éculubrations des personnages principaux.
Ce scénario réutilise la bonne vieille ficelle du "partez au loin mais le trésor est sous vos pieds" qu'avait utilisé Hergé en son temps.
Il y a aussi un parallèle indubitable au prisonnier du Bouddha; les scènes nocturnes au château, Fantasio qui espionne le comte, le départ vers l'Asie, une montagne trouée de grottes à escalader... manque plus que le GAG.
Ces deux éléments, auquel on peut rajouter les "hommages" dilués cis et là tout au longs de l'album pourrait faire penser qu'on a affaire à une histoire "réchauffée".
Détrompez-vous, car l'action n'est pas au centre de cette histoire (d'ailleurs il n'y a pas non plus de méchant(s)) mais en constitue seulement un des éléments. Ce qui fait que les références cités supra ne deviennent pas des handicaps pour l'album.
Les petits hommages, par exemple, ils ne sont pas balourds (quoique je les trouve un peu nombreux). On n'a pas droit à un portait de Franquin ou le sous-marin qui traîne, ostensiblement dessinés. Ce sont des rappels indirects, tout en sous-entendus: le pyjama de Fantasio, les bottes qu'il prend, le poudrier de Seccotine, le facteur Zénobé (apparu une seul fois dans "le repaire de la murène"), le courrier adressé à Duplumier et à Dupilon, réutilisation du X4 et du sérum anti-froid....
Venons-en aux points forts du scénario.
L'idée de s'intéresser à l'histoire familiale du comte est excellente. Faire participer Côme de Champignac à lexpédition dEgypte avec Napoléon, en faire le premier inventeur de la photographie ma plu (le caveau à champignon aussi). Cest très historique, on sent la marque de Yann qui aime glisser de telles éléments dans ses scénar.
Lidée de réutiliser les champignons luminescents de « il y a un sorcier à Champignac » est aussi excellente. Cela accentue le côté mystérieux.
Les 25 premières planches se passant au château sont excellentes. Lambiance nocturne est très bien rendue. Mais cest là aussi que lon se rend compte que lon aura pas droit à une grande aventure ; les héros restant trop longtemps à Champignac.
On sintéresse donc aux personnages car finalement cette histoire confère parfois au huis-clos tant le nombre de personnage est limité. On suit de très près le quatuor Spirou-Fantasio-Seccotine-Champignac.
Spirou est un peu en retrait, peut-être un peu plus neutre quà lhabitude ; il laisse la part belle à Fantasio qui lui est au meilleur de sa forme dans cet album. Seccotine est redevenu la peste minaudante de « la corne de rhinocéros» en quête de scoop pour doubler Fantasio.
Quant à Champignac, cest selon moi le gros point noir de lalbum. Je ne lai pas aimé tel que Tarrin et Yann lont représenté. Je ne lai pas reconnu. Il est complètement « dingue » dans lalbum. Franquin la déjà représenté de cette façon dans certaines histoire mais même dans ces passages-là comme dans « la peur au bout du fil » ou « Panade », il gardait une dignité, une noblesse qui faisait sa marque. Tandis que là
Pourtant sur son blog Tarrin disait : « Pourquoi avant Panade ? Parceque l'univers est trop différent, moins sérieux, ça devient davantage du Gaston, le dessin est devenu plus caricaturale, le comte et Zorglub perdent de leur prestance »
Outre le fait que « le Tombeau » est je trouve moins sérieux (que je classerais donc dans les épisodes post-QRM), dire que le comte perd de sa prestance dans « Panade » et le représenter tel quel dans le Tombeau est selon moi un non-sens.
Spip, et c'est un regret, étant quasiment inexistant, revenant à l'état purement animal (comme dans "Machine qui rêve").
Je ne dirai pas grand-chose sur la sphynge. Mais je me demande si cétait utile dintroduire un animal légendaire. On voit lappel du pied au Marsu ; mais quand je la vois je ny crois pas. Surtout que les persos sont à peine étonné de la découvrir.
Concernant le dessin, on nest pas surpris, cest du Tarrin.
Lalbum se décompose en 3 parties, et cela se ressent au niveau du dessin.
La première partie à Champignac et en nocturne est magnifique, Tarrin montre tout son talent avec ses jeux dombres. Les décors sont là.
Cela se gâte lorsque nos héros partent pour le Tibet et là le décor se réduit à une peau de chagrin. Je sais bien que lon est en haute montagne mais quand même. Javais parfois limpression de lire le début du « Voyageur du Mésozoïque », peut-être à cause du sérum anti-froid, mais surtout à cause du vide à lintérieur des cases. Les montagnes tibétaines sont tout sauf impressionnantes. Un des passages agréables, cest le périple « huilesque » de Fantasio dans la petite bourgade ; cela fait respirer le récit.
On a quand même limpression que des planches sont bâclées, surtout à la fin, ce qui est dommage pour un album qui a pris son temps.
Concernant les persos, cest vrai que Seccotine a des faux airs de Violine mais elle est tellement jolie. Bon le comte, jai dit ce que jen pensais. Les autres sont très bien réussis. Mention spéciale à Spirou que Tarrin a bien dans la main.
Comme tout album, il a ses qualités et ses faiblesses. Le tout pris en compte, et comprenant la démarche des auteurs, on a un album qu'on attend depuis "Panade" (je dis bien "Panade") et qu'on est heureux de lire.
Encore une fois, ce n'est pas de la grande aventure, même si celle-ci n'est pas absente de l'histoire. On suit de très près les persos jusqu'à la caricaure ( a couché/ a pas couché) et ça nous fait rire. C'est le principal.
Je tiens d'abord à dire que pour moi le tombeau des Champignac est un bon album. Le meilleur des 3 one-shots sortis, le plus équilibré dans la qualité du dessin et du scénario.
C'est vrai que je suis sorti de ma lecture avec un sentiment mitigé.
En fait, je ne m'attendais pas à un tel album.
On connaît tous la démarche des deux auteurs, et pour nous, il y a de quoi saliver, surtout que cela fait deux ans et demi qu'on attend.
Faire un Spirou dans l'esprit de Franquin, c'est courageux car on s'expose inévitablement à la comparaison mais ici les auteurs échappent à ce piège grâce à leur talent respectif, et à leur propre ton.
On sent bien qu'ils on aimé faire cette histoire.
Je disais que j'étais partagé à la fin de ma lecture. En effet je m'attendais à une grande aventure, comme au bon vieux temps de Franquin, comme "QRM", que les auteurs citent allègrement.
Certes, ils avaient prévenu que "la psychologie des personnages" seraient un peu plus creusé, leur relation les uns aux autres, notamment le fameux trio Spirou-Fantasio-Seccotine.
Mais je ne pensais pas que ce serait le point central de l'album et que l'action passerait au second plan (c'est mon avis).
Du coup, j'ai été un peu déçu par rapport à ce que j'attendais, et j'ai dû changer mon fusil d'épaule pour apprécier cet album.
Il n'est pas facile de dénouer du scénario qui a fait quoi, mais au final, les 2 auteurs étant sur la même longueur d'onde, cela ne change pas grand chose.
Comme le disait Yann en interview, ils se sont amusés à retourner le coffre à jouets pour prendre ce qui leur plaisait: Turbot 1, Zorglumobile (même si les deux n'ont jamais coexisté), costume de groom (oubli marquant et pourtant symbolique: le calot).
Le synopsis de Yann captive le lecteur: une mission impossible; escalader une montagne lointaine du Tibet, le château détruit, une crypte découverte, un ancêtre mystérieux du comte...
Cela ne se révellera finalement pas une grande aventure, comme je l'ai dit mais plutôt une trame dans laquelle on va suivre les éculubrations des personnages principaux.
Ce scénario réutilise la bonne vieille ficelle du "partez au loin mais le trésor est sous vos pieds" qu'avait utilisé Hergé en son temps.
Il y a aussi un parallèle indubitable au prisonnier du Bouddha; les scènes nocturnes au château, Fantasio qui espionne le comte, le départ vers l'Asie, une montagne trouée de grottes à escalader... manque plus que le GAG.
Ces deux éléments, auquel on peut rajouter les "hommages" dilués cis et là tout au longs de l'album pourrait faire penser qu'on a affaire à une histoire "réchauffée".
Détrompez-vous, car l'action n'est pas au centre de cette histoire (d'ailleurs il n'y a pas non plus de méchant(s)) mais en constitue seulement un des éléments. Ce qui fait que les références cités supra ne deviennent pas des handicaps pour l'album.
Les petits hommages, par exemple, ils ne sont pas balourds (quoique je les trouve un peu nombreux). On n'a pas droit à un portait de Franquin ou le sous-marin qui traîne, ostensiblement dessinés. Ce sont des rappels indirects, tout en sous-entendus: le pyjama de Fantasio, les bottes qu'il prend, le poudrier de Seccotine, le facteur Zénobé (apparu une seul fois dans "le repaire de la murène"), le courrier adressé à Duplumier et à Dupilon, réutilisation du X4 et du sérum anti-froid....
Venons-en aux points forts du scénario.
L'idée de s'intéresser à l'histoire familiale du comte est excellente. Faire participer Côme de Champignac à lexpédition dEgypte avec Napoléon, en faire le premier inventeur de la photographie ma plu (le caveau à champignon aussi). Cest très historique, on sent la marque de Yann qui aime glisser de telles éléments dans ses scénar.
Lidée de réutiliser les champignons luminescents de « il y a un sorcier à Champignac » est aussi excellente. Cela accentue le côté mystérieux.
Les 25 premières planches se passant au château sont excellentes. Lambiance nocturne est très bien rendue. Mais cest là aussi que lon se rend compte que lon aura pas droit à une grande aventure ; les héros restant trop longtemps à Champignac.
On sintéresse donc aux personnages car finalement cette histoire confère parfois au huis-clos tant le nombre de personnage est limité. On suit de très près le quatuor Spirou-Fantasio-Seccotine-Champignac.
Spirou est un peu en retrait, peut-être un peu plus neutre quà lhabitude ; il laisse la part belle à Fantasio qui lui est au meilleur de sa forme dans cet album. Seccotine est redevenu la peste minaudante de « la corne de rhinocéros» en quête de scoop pour doubler Fantasio.
Quant à Champignac, cest selon moi le gros point noir de lalbum. Je ne lai pas aimé tel que Tarrin et Yann lont représenté. Je ne lai pas reconnu. Il est complètement « dingue » dans lalbum. Franquin la déjà représenté de cette façon dans certaines histoire mais même dans ces passages-là comme dans « la peur au bout du fil » ou « Panade », il gardait une dignité, une noblesse qui faisait sa marque. Tandis que là
Pourtant sur son blog Tarrin disait : « Pourquoi avant Panade ? Parceque l'univers est trop différent, moins sérieux, ça devient davantage du Gaston, le dessin est devenu plus caricaturale, le comte et Zorglub perdent de leur prestance »
Outre le fait que « le Tombeau » est je trouve moins sérieux (que je classerais donc dans les épisodes post-QRM), dire que le comte perd de sa prestance dans « Panade » et le représenter tel quel dans le Tombeau est selon moi un non-sens.
Spip, et c'est un regret, étant quasiment inexistant, revenant à l'état purement animal (comme dans "Machine qui rêve").
Je ne dirai pas grand-chose sur la sphynge. Mais je me demande si cétait utile dintroduire un animal légendaire. On voit lappel du pied au Marsu ; mais quand je la vois je ny crois pas. Surtout que les persos sont à peine étonné de la découvrir.
Concernant le dessin, on nest pas surpris, cest du Tarrin.
Lalbum se décompose en 3 parties, et cela se ressent au niveau du dessin.
La première partie à Champignac et en nocturne est magnifique, Tarrin montre tout son talent avec ses jeux dombres. Les décors sont là.
Cela se gâte lorsque nos héros partent pour le Tibet et là le décor se réduit à une peau de chagrin. Je sais bien que lon est en haute montagne mais quand même. Javais parfois limpression de lire le début du « Voyageur du Mésozoïque », peut-être à cause du sérum anti-froid, mais surtout à cause du vide à lintérieur des cases. Les montagnes tibétaines sont tout sauf impressionnantes. Un des passages agréables, cest le périple « huilesque » de Fantasio dans la petite bourgade ; cela fait respirer le récit.
On a quand même limpression que des planches sont bâclées, surtout à la fin, ce qui est dommage pour un album qui a pris son temps.
Concernant les persos, cest vrai que Seccotine a des faux airs de Violine mais elle est tellement jolie. Bon le comte, jai dit ce que jen pensais. Les autres sont très bien réussis. Mention spéciale à Spirou que Tarrin a bien dans la main.
Comme tout album, il a ses qualités et ses faiblesses. Le tout pris en compte, et comprenant la démarche des auteurs, on a un album qu'on attend depuis "Panade" (je dis bien "Panade") et qu'on est heureux de lire.
Encore une fois, ce n'est pas de la grande aventure, même si celle-ci n'est pas absente de l'histoire. On suit de très près les persos jusqu'à la caricaure ( a couché/ a pas couché) et ça nous fait rire. C'est le principal.
- Sephiroth
- Spirouphage
- Messages : 387
- Enregistré le : ven. 3 nov. 2006 23:13
- citation : Didier Wampas est le roi!!!
- Localisation : Troisième planète du système solaire
Je suis d'accord avec toi sur la plupart des faiblesses de l'album que tu évoques. Mais comme je le disais ailleurs, l'absence trop forte du côté "aventure" et le côté dingue de Comte de Champignac font que pour moi, c'est le one-shot de Y&V qui reste le meilleur des trois.
Pour les clins d'oeil, je suis d'accord avec toi, ils sont mieux dilués dans l'aventure que dans les albums de Morvan & Munuera, c'est un bon point. Mais je pense quand même que cette aventure est beaucoup trop au second rang. J'aime bien la façon dont la relation Spirou-Seccotine est traîtée (contrairement à certains qui préfèreraient un status quo jusqu'à la fin des temps, je n'en fait pas partie) mais le côté huis-clos qui prédomine dans l'album reste un peu bancal.
Je pense que Tarrin & Yann ont été trop perfectionnistes, et sont tombés à côté de leur sujet. Et c'est dommage.
Pour les clins d'oeil, je suis d'accord avec toi, ils sont mieux dilués dans l'aventure que dans les albums de Morvan & Munuera, c'est un bon point. Mais je pense quand même que cette aventure est beaucoup trop au second rang. J'aime bien la façon dont la relation Spirou-Seccotine est traîtée (contrairement à certains qui préfèreraient un status quo jusqu'à la fin des temps, je n'en fait pas partie) mais le côté huis-clos qui prédomine dans l'album reste un peu bancal.
Je pense que Tarrin & Yann ont été trop perfectionnistes, et sont tombés à côté de leur sujet. Et c'est dommage.
Tous au club!
[url=http://www.inedispirou.kalikoba.com/forum/cest-marrant-ii-ze-retour--vt396.html]C'EST MARRANT II![/url]
et
[url=http://www.inedispirou.kalikoba.com/forum/chez-jules-vt423.html]CHEZ JULES![/url]
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