Re: FRANQUIN : Hommages aux auteurs
Posté : mer. 25 janv. 2012 12:01
[table=width:100%][tr=text-align:float-left;][td=]
©Dupuis
[/td][td=] Hommage à Berck, Spirou n° 1763 daté du 27 janvier 1972
« Robots pour les gorilles », tel est le titre de l?aventure de Jack
Attaway et Sammy Day qui démarre dans ce numéro. Cette fois
Sammy et Jack vont devoir protéger 2 frères jumeaux, 2 savants
qui chacun de leur côté mettent la dernière main à un robot de
leur invention.
Le problème c?est qu?il faudra à la fois veiller à empêcher les gangsters
de s?emparer des 2 robots, mais aussi intervenir entre les deux jumeaux
qui se font une compétition farouche et qui sont prêts à tout sauf s?aider
l?un l?autre.
C?est l?époque des premières aventures des Gorilles, limitées à 22
planches, et ce format donnait encore plus de punch aux scénarios de
Cauvin. C?est dommage que par la suite la série se soit formatée. Elle y a
perdu en concision, ce qui est regrettable lorsqu?on voit certains titres qui
auraient pu avantageusement se raconter en 22 planches au lieu de 44
remplies de running gags lassants.
Mais depuis quand la facilité serait-elle compatible avec la qualité ?
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©Dupuis
[/td][td=] Hommage à Berck, Spirou n° 1763 daté du 27 janvier 1972
« Robots pour les gorilles », tel est le titre de l?aventure de Jack
Attaway et Sammy Day qui démarre dans ce numéro. Cette fois
Sammy et Jack vont devoir protéger 2 frères jumeaux, 2 savants
qui chacun de leur côté mettent la dernière main à un robot de
leur invention.
Le problème c?est qu?il faudra à la fois veiller à empêcher les gangsters
de s?emparer des 2 robots, mais aussi intervenir entre les deux jumeaux
qui se font une compétition farouche et qui sont prêts à tout sauf s?aider
l?un l?autre.
C?est l?époque des premières aventures des Gorilles, limitées à 22
planches, et ce format donnait encore plus de punch aux scénarios de
Cauvin. C?est dommage que par la suite la série se soit formatée. Elle y a
perdu en concision, ce qui est regrettable lorsqu?on voit certains titres qui
auraient pu avantageusement se raconter en 22 planches au lieu de 44
remplies de running gags lassants.
Mais depuis quand la facilité serait-elle compatible avec la qualité ?
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