LE JOURNAL D'UN INGENU
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Juho
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Ouais mais Yann ne fait pas du tout quelque chose dans le même esprit dans son second scénario que dans son premier, aucune raison de lui interdir quoique ce soit selon moi...
Le principe du One Shot c'est une histoire en un tome, il n'a jamais été stipulé que le scénariste n'avait pas le droit de repartir dans un autre délire avec un autre dessinateur après , surtout quand l'histoire n'a RIEN à voir
Le principe du One Shot c'est une histoire en un tome, il n'a jamais été stipulé que le scénariste n'avait pas le droit de repartir dans un autre délire avec un autre dessinateur après , surtout quand l'histoire n'a RIEN à voir
[color=#3366FF][b]"Dieu ne vous a rien donné du tout, vous usez de son nom pour justifier votre irresponsabilité. Pour ne pas me mettre en colère, je dirais que c'est vilain"[/b][i] Lapinot[/i][/color]
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marcelinswitch
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Mais deux one-shots...Trichoco a écrit :En trouvant un auteur pour la série principale, par exemple, ça pourrait être pas mal!Gégé Z a écrit :C'est pas bête. On pourrait avoir plein de Spirou différents venants du même auteur...
Je suis d'accord avec Despera sur le principe : s'il y a une suite, ce n'est plus un one-shot.
ok, je sors...
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Spip
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Critique de Télérama :
Spirou fête ses 70 ans. Après le retrait de l'irremplaçable Franquin à la fin des années 1960, nombre de dessinateurs se sont relayés pour faire (sur)vivre le petit groom, avec plus ou moins de bonheur. Emile Bravo, lui, ne se contente pas de broder de nouvelles aventures : il réinvente le juvénile héros en apportant de subtiles réponses à de fondamentales questions qui le taraudaient quand il était enfant. Pourquoi Spirou est-il affublé de ce costume de groom ? D'où vient l'indéfectible amitié qui le lie à Fantasio ?
Dans un flash-back formidablement inventif, Bravo imagine, le temps d'une histoire à la fois limpide et astucieuse, le Spirou d'avant Spirou. C'est un orphelin bruxellois qui travaille comme groom au Moustic Hotel, pendant l'été 1939. Là, d'étranges complots se trament, où il est question de la guerre qui s'annonce. Il s'y trouve mêlé malgré lui, et un reporter très pot-de-colle nommé Fantasio n'arrangera rien à l'affaire... En dire plus serait éventer la magie de cette relecture très fine et très personnelle qui, pourtant, respecte, avec bonheur, et l'esprit et la lettre de la mythique série.
Maître conteur, véritable sismographe de l'esprit d'enfance, mais d'une enfance qu'il ne prend jamais à la légère, Emile Bravo jongle entre comédie et gravité, avec la même aisance funambule qui lui permet de distiller graphiquement une atmosphère d'époque sur un tempo très moderne. Cet album fera date : il marque la splendide renaissance (sans lendemain ?) d'un personnage qui s'impose, ici mieux que jamais, comme le seul rival sérieux de Tintin à ce jour.
Spirou fête ses 70 ans. Après le retrait de l'irremplaçable Franquin à la fin des années 1960, nombre de dessinateurs se sont relayés pour faire (sur)vivre le petit groom, avec plus ou moins de bonheur. Emile Bravo, lui, ne se contente pas de broder de nouvelles aventures : il réinvente le juvénile héros en apportant de subtiles réponses à de fondamentales questions qui le taraudaient quand il était enfant. Pourquoi Spirou est-il affublé de ce costume de groom ? D'où vient l'indéfectible amitié qui le lie à Fantasio ?
Dans un flash-back formidablement inventif, Bravo imagine, le temps d'une histoire à la fois limpide et astucieuse, le Spirou d'avant Spirou. C'est un orphelin bruxellois qui travaille comme groom au Moustic Hotel, pendant l'été 1939. Là, d'étranges complots se trament, où il est question de la guerre qui s'annonce. Il s'y trouve mêlé malgré lui, et un reporter très pot-de-colle nommé Fantasio n'arrangera rien à l'affaire... En dire plus serait éventer la magie de cette relecture très fine et très personnelle qui, pourtant, respecte, avec bonheur, et l'esprit et la lettre de la mythique série.
Maître conteur, véritable sismographe de l'esprit d'enfance, mais d'une enfance qu'il ne prend jamais à la légère, Emile Bravo jongle entre comédie et gravité, avec la même aisance funambule qui lui permet de distiller graphiquement une atmosphère d'époque sur un tempo très moderne. Cet album fera date : il marque la splendide renaissance (sans lendemain ?) d'un personnage qui s'impose, ici mieux que jamais, comme le seul rival sérieux de Tintin à ce jour.
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En ligneTrichoco
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- Enregistré le : sam. 8 oct. 2005 19:02
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bon alors, sinon, personne ne parle de l'album?
Je fais partie de ceux qui ont attendu la sortie pour me l'acheter. Evidemment, au vu de tous les commentaires sur les différents forums, je m'attendais à quelque chose de formidable! Eh bien je n'ai pas été déçu, même si l'album m'a tout de même surpris. Je ne m'attendais pas à ce que tant de choses soient expliquées
Spoiler
De plus, cet album a priori léger est en fait plein de cynisme
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Je fais partie de ceux qui ont attendu la sortie pour me l'acheter. Evidemment, au vu de tous les commentaires sur les différents forums, je m'attendais à quelque chose de formidable! Eh bien je n'ai pas été déçu, même si l'album m'a tout de même surpris. Je ne m'attendais pas à ce que tant de choses soient expliquées
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J'ai aussi adoré l'ambiance de fin des années 30 qui est très réussie, je pense que le travail de la coloriste y est pour quelque chose! Les références à Tintin sont intéressantes, mais je trouve qu'elles deviennent trop récurrentes sur la fin.
De plus, cet album a priori léger est en fait plein de cynisme
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Enfin, on a là un album qui pourrait fort bien être le tome 0 de la collection! Même si j'estime qu'il est quand même plus destiné aux fans qu'au grand public, il pourrait tout à fait avoir sa place dans la collection.
#Team Marv Wolfman
#Team Fournier
#Team Fournier
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marcelinswitch
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- citation : cibiste du Bretzelburg
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Je trouve justement que la fin; la dernière page et l'épilogue sont maladroits, voire hors-propos pour l'épilogue.
Je trouve que ça détonne par rapport au reste de l'album.
Mais bon, l'album est tellement excellent que ça ne le gâche en rien.
Sinon, j'ai rédigé une critique assez longue et "orientée" sur le forum Franquin; mais c'est vraiment long, et ça m'ennuie de spoiler.
ça vous intéresse ?
Je trouve que ça détonne par rapport au reste de l'album.
Mais bon, l'album est tellement excellent que ça ne le gâche en rien.
Sinon, j'ai rédigé une critique assez longue et "orientée" sur le forum Franquin; mais c'est vraiment long, et ça m'ennuie de spoiler.
ça vous intéresse ?