Fantasio était mis en avant en effet, et c'est d'autant plus remarquable si, me fiant à ce que j'ai lu ici, Fournier ne l'aimait pourtant pas.

Cet album, dont il me semble que le nom du tyran cache un jeu de mots (mais je n'ai pas compris lequel?), et le suivant, aborde la façon de faire chuter une dictature de façon très réaliste (peut-être plus que dans
Le dictateur et le champignon). En vrai ce n'est peut -être pas si drôle que de faire fondre des armes, mais dans les faits, il faut en effet alerter la communauté internationale et songer à l'après. Du style pas juste détruire les plantes pourvoyeuses de drogue mais les remplacer par des plantations tout aussi lucratives pour les habitants. Le tout est plus long que dans
Le dictateur et le champignon, et on pouvait craindre que les descriptions des mesures prises soient assommantes pour les lecteurs, mais curieusement ça passe.