Napo972 a écrit :oui,je lis le journal depuis 1966,et ainsi il y a des années que j'ai adorées et d'autres un peu moins.
mais les auteurs font le job,ce sont certaines équipes éditoriales qui sont pas au niveau pour des choix et décisions concernant notre beau journal.
là je note que j'ai été très déçu par ce numéro qui se voulait fêter les 40 ans de la belle série de KOX.
comme j'avais été déçu de l’absence de numéro du journal pour les 50 ans de Natacha.(incompréhensible,j'en avais parlé avec Walthéry à Liguge qui m'avait fait comprendre d'éviter le sujet).
Je suis d'accord avec toi, ce sont les équipes éditoriales qui décident de l'orientation du magazine, des séries et des auteurs (bons ou moins bons). Mais comme tu dis, ce sont des équipes, et il doit y avoir des conflits interne. C'est je pense ce qui explique le ratage de l'anniversaire de Natacha, pour lequel il y a eu simplement un supplément pour les abonnés, alors que cela aurait largement mérité qu'elle fasse la couverture, et selon moi c'est parce que des responsables ne doivent pas apprécier Natacha (ou Walthéry), et ont juste accepté ce supplément pour la commemoration des 50 ans.
Napo972 a écrit :et je confirme que parmi les "nouveautés",nombre me plaisent,notamment cette semaine Clarisse que je connaissais pour ses superbes albums avec smolderen,tout comme l"es soeurs gremillet".
mais dans les 2 cas,ce sont des auteurs qui sont arrivés dans le journal après avoir déjà fait leurs preuves depuis des années dans d'autres récits , chez d'autres éditeurs.
car j’avoue que depuis quelques temps,il y a quand même pas mal de remplissage dans notre journal.
chez dupuis l'exigence pour avoir l'honneur d’être édité dans le journal n'est plus la même...
J'aime bien aussi Alexandre Clérisse (que je connaissais comme toi pour ses albums), moins Les sœurs Grémillet, mais en effet, ce sont des œuvres d'auteurs accomplis, et le magazine Spirou joue bien moins son rôle de découvreur qu'avant. Je le regrette comme toi, ceci dit, la presse BD (comme la presse en général) se porte mal, et un magazine généraliste qui présenterait pas mal de jeunes auteurs sortant un peu des entiers battus courerait à la ruine, car ce n'a jamais été ce que voulait l'ensemble du lectorat, qui suit les modes (mangas et dessins animés actuellement) mais est aussi conservateur (rappellons nous des volées de bois vert que le magazine s'était pris dans les années 70 en publiant Watch, Dédé, Jordi Bernet, Servé, et d'autres), et ce rôle est désormais dévolu au net.
" Monólogo significa el mono que habla solo." Ramón Gómez de la Serna dans ses Greguerías.