En effet,c'est souvent que Midam nous honore,lorsqu'il fait la couverture , d'un gag en plus de ceux à l'intérieur du journal.heijingling a écrit : ↑lun. 29 mai 2023 16:08 Numéro 4441 du 24/05/2023
Amusante couverture du joyeux déménageur de Midam montant un insecte géant (j'aime les dessins d'animaux fantastiques et démesurés).

J'aime vraiment ce récit.heijingling a écrit :
Fin de L'inspiration, deuxième histoire des Cœurs de ferraille, avec Munuera et Sedyas toujours inspirés (haha) par cet univers steampunk, j'apprécie en particulier l'utilisation des trames, réminiscence des vieux comics, qui aident à s'y immerger, et toujours aussi peu le nouveau message toujours aussi lourdement répété des scénaristes .
N'ayant pas acheté les 2 albums,j'ai relu d'un trait les 2 histoires en recherchant les journaux concernés (je le fais à chaque fois depuis des années à la fin de la prépublication).
Ce qui me plaît,c'est qu'on change de personnages, ce n'est pas la suite du précédent album.
Et pour cet univers,le dessin de Munuera est dans son élément, notamment les robots,malgré tout expressifs dans leurs attitudes,et c'est très fort.
L'éditeur mise de nouveau sur cette série, celle-ci changeant de format (comme ils l'avaient fait pour Largo Winch et Théodore Poussin).heijingling a écrit : Une longue histoire pour Soda tout de même, puisque nous en sommes déjà à la 47ème page.
Tous les titres sont donc réédités,avec de beaux et grands présentoirs dans les magasins spécialisés.
Je te trouve bienveillant avec la rédaction sur ce coup là...heijingling a écrit : Bon, il était aussi annoncé un hommage tous les quinze jours, mais, les impondérables...

J'attends ton analyse du numéro 4442 (je suis discipliné !) pour commenter deux faits de la rédaction qui m'ont alerté.
Un qui m'a bien fait rire.(rire moqueur).
Un qui m'a vraiment plu.
Peut être les devineras tu...?

Le Grand Prix d'Angoulême a toujours été important pour moi,fréquentant le festival d'Angoulême depuis donc janvier 1980.heijingling a écrit : Le militantisme à géométrie variable de Pénélope Bagieu ne me dérange pas trop, et certains de ses bouquins ont de l'intérêt autre que contextuel, mais de là à lui donner le Grand Prix...
Pendant des années le Grand Prix était annoncé au balcon de l'hôtel de ville pendant le festival, et nous étions nombreux pour ce rdv.
J'aimais cette tradition, ce cérémonial.
S'ensuivaient toujours des échanges de bonne et mauvaise foi sur la légitimité de l'élu.
(À une époque c'était les anciens lauréats qui votaient, et ainsi votaient souvent pour les copains.
Et on a su qu'ils avaient "blacklisté "Hermann...)
Maintenant on connaît le Grand Prix avant que le festival démarre.
Grand Prix même pas décidé à Angoulême.
Bon.

Quand à ton commentaire sur la Bagieu, je plussois.
Des Grands Prix m'ont ainsi interloqué (je les nomme pas la liste est longue...

Et certains de mes potes et moi même nous demandions ,au vu de certains lauréats, pourquoi Rosinski,Greg, Vance ou même Hislaire/Yslaire n'auraient pas droit à cette reconnaissance .
On l'espérait depuis des années pour Hermann, qui a été enfin honoré.

Pour finir,je rajouterai à ton analyse toujours aussi complète:
Que j'aime toujours autant l'édito de la page 3.
Que j'ai du mal avec "Otaku",graphisme et scénario .
Et enfin que la pub sur un album Dargaud (du mal à l'accepter ,toujours...,mais bon,dans ce même numéro, ils font quand même la pub d'un titre Dupuis) ne donne pas envie,vu l'extrait montré .
L'auteur devrait prendre conseil auprès du professeur Marko,et sa "leçon de Bd"
